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  La vie de l'AS  
  Actualité du : 25/10/2024 ________________________________
 
Bonjour à tous,

La fiche d'inscription pour la semaine de ski à Morzine est sur le site
rubrique Ski alpin.

La randonnée à Barre des Cévennes est annulée à cause de la météo.

A bientôt
Jean-Marc

 

 
  Ski alpin
  Actualité du : 21/02/2024 ________________________________

Morzine : Janvier 2024

La semaine de ski de Morzine 2024 a été marquée par le changement d’Hôtel, Le Cret, trouvé par Catherine, nous a fort bien accueillis.

La qualité de l’hébergement et de la restauration ainsi que les divers équipements mis à notre disposition ont enchanté tous les participants.
L’animation était aussi de qualité, spectacle, Karaoké, etc... bref nous validons.

Guillaume dans le plâtre fut forfait cette semaine, seuls Sylvie et Patrick ont accompagné les trois groupes.

Nous avons eu le plaisir de recevoir une petite nouvelle, Fanny qui a pu, faute de ski, visiter en raquettes les montagnes voisines.et réviser la cuisine savoyarde
Cette année les effectifs furent réduits (31 personnes) . manquaient Dan et Nath, Christian et Claudine, Yves et Guy, Clémence et Mathieu, Pompom et j’en oublie., Laulau et Vero qui accueillirent avec bonheur cette semaine des petits jumeaux à Calgary.

Nous avons retrouvé avec grand plaisir quelques anciens de retour, Paul et Véronique après 6 ans, Agnes et Poussin après 30 ans.
Aucun blessé dans le groupe ne fut à déplorer, assez rare pour ne pas le mentionner.
Quelques courageux ont pu profiter d’un samedi ensoleillé avec une neige un peu carrelage par endroit mais quand on aime …..
Le beau temps allait nous accompagner jusqu’au mardi où quand nous fîmes les portes du soleil. Chez Crépy après le repas, l’accordéon a chauffé et certains ont donné de la voix sur les classiques, ambiance...

La pluie nous accompagna le mercredi et jeudi matin de quoi apprécier encore plus la pause à la Tanière .

Nous avons comme chaque année pu profiter de quelques HP, comme les Crozats, la Lèche sur Chatel, Patenaille et Pierre plate, sans oublier la combe du corbeau, n’est-ce pas Jim ! et la sapinette maintes et maintes fois parcourue. Le vendredi une belle couche de poudre nous a comblés et ravis comme sur les Intrêts où la neige vierge nous attendait, que du bonheur !.

Jean-Luc n’a pas manqué d’arroser copieusement, et il me semble à plusieurs reprises, ses 70 printemps .Bravo !
Phiphi conclut cette semaine en arrosant lui aussi son anniversaire top !

Merci à tous

Vivement 2025 qu’on remette ça !!
Arvi

Jean-Marc


MORZINE : Janvier 2023
Compte-rendu de la semaine.

Morzine 2023 et oui nous y sommes…
Après la frayeur du premier jour ou Morzine était plus vert que blanc les bonnes chutes des trois premier jours embellirent le paysage qui prit enfin des allures hivernales.
A nous la poudre qui par endroit atteignait pour notre bonheur les 70 cm après un samedi ou seules les pistes d’Avoriaz étaient praticables.

Nous fûmes 38 cette année avec quelques nouveaux bienvenus qui rajeunirent la troupe, Alain B. avec ses fils Prosper et Marius, Yves F. avec sa fille Lara qui malheureusement fut forfait et son frère Guy.

Nous avons déploré les forfaits de fidèles compagnons, Pompom, Lolo, Vero, André qui je l’espère fort seront des nôtres l’an prochain.

Les 3 premiers jours de ski s’effectuèrent sous la neige et avec des épisodes tempêtueux qui nous empêchèrent de produire notre ski habituel sous l’effet hypnotique des flocons qui filaient autour de nous. Le plus fort de la tempête fut vécu par la majorité à l’abris de notre tanière préférée, cependant quelques malchanceux repartis sur les télésièges ont bien cru s’envoler.

Dès le mardi le ciel nous gratifia de quelques éclaircies, et le soleil fut de la partie, accompagné de quelques stratus juste là pour embellir nos photos jusqu’au samedi.

Les HP habituels (Cuboré, le Fornet, Pintenaille, le corbeau, les poubelles, les Grands sucs qui offrent une belle vue sur les Prodains ses falaises et Séraussaix au-dessus, le morclan…etc) nous ont offerts de grands moments de ski avec une neige épaisse et toute légère qui nous donnait l’impression de skier au ralenti… Grandiose !!

A noter cette année l’intérim de Michel qui a remplacé Patrick en ‘pèlerinage’ à Kitzbuhel à partir du mercredi.
Merci à lui.

La poudre a occasionné une belle palette de chûtes, certaines un peu bizarre où les skieurs se retrouvent allongés côte à côte !!

Cette année peu de blessures furent nt à déplorer, 1 claquage de mollet pour C.A.
et déchirure musculaire au bras pour G.F.

Tradition oblige, J-L a fêté comme il se doit son 69e anniversaire, merci à lui et vivement le 70e. Phihi quant lui fêtait sa 67e.

Comme chaque année nous avons été gâtés à Bonne Valette par la bonne humeur de Laetitia et l’excellente cuisine de Jean-Marc qui a repris le tablier pour nous, merci à tous les deux et aussi à Sophie.

Le retour nécessita le déneigement 'sportif' des voitures et aussi de la rue restée
bien encombrée suite à un forfait du chasse-neige et de son chauffeur. Merci à ceux qui ont bossé dur !

Vivement 2024 !

A bientôt

Jean-Marc


MORZINE : Janvier 2022
Compte rendu de la semaine par DAN :

2022, depuis maintenant 2 ans un nouvel ordre s'est installé sur la terre des hommes, Le seigneur SARS-Cov-2 et ses vassaux Delta et Omicron règnent et entretiennent un climat anxiogène.

Malgré tout un groupe d’irréductibles a décidé de mener le combat sur les terres du haut, la « Yaute » comme on dit la-bas. Ils partirent 34 pour les cimes enneigées vers leur camp de base « Bonne Valette »

Le début de la campagne fut prometteur, peuf à volonté et ciel azur leur permit de gagner des batailles, Fornet, Mur Suisse, Pierre Plate, les Barmettes, l'arrête des Intrets, les Crozats, les creux de la neige... Il faut dire qu'ils étaient accompagnés de guides locaux dont le savoir et la lecture du terrain remonte à plusieurs générations, SG, PB, GB.

Hélas, comme toujours il y eut des moments forts et des moments plus faibles, des magiciens à la solde du seigneur SARS Covid 19 ont essayé d'atteindre physiquement le groupe par des stratagèmes plus que douteux, ils ont retiré la neige sous les skis du sieur MB, affaiblit les fixations des skis du sieur OS occasionnant la perte d'un ski, bloqué une perche de tire-fesse pour l'envoyer dans le dos du sieur DR, fait chuter plusieurs autres membres de l'expédition, heureusement sans trop de gravité.

Devant tant de succès, Omicron décida de s'attaquer au groupe. Le groupe épuisé par les nombreuses batailles, la partie lui fut facile, et c'est une équipe réduite qui termina le séjour.

Néanmoins nous n'avons pas rendu les armes et sommes prêts pour de nouvelles aventures.

Bon rétablissement à ceux qui sont touchés et à l'année prochaine.

Arvi.
Dan

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Compte rendu de la semaine par JEAN-MARC :

Pour la majorité d’entres nous cela faisait 2 ans qu’on attendait cette semaine Morzinoise, et ce cru 2022 a comblé nos attentes, dès le samedi quelques privilégiés profitèrent des pistes de Morzine quasi désertes. La neige encore un peu ferme allait se radoucir dès le dimanche après quelques chutes bienvenues.
Le soleil nous a accompagné dès le lundi et n’allait plus nous quitter de la semaine, les brumes en vallée donnaient de quoi faire quelques belles photos.
Cette année vit quelques forfaits de fidèles compagnons Pompom, Lolo, Vero, Eric, Laurent et Jean-Luc venu malgré tout en voisin nous saluer à la tanière.
Nous étions tout de même 34 avec quelques nouveaux, Marie-Dominique, Marie-Line, Mathieu
et le retour de Valérie Catherine Corinne Clémence et André.
Merci à tous de votre présence malgré les risques.
Cette année peu de blessures sont à déplorer, 1 claquage de mollet pour MB et BH.
A noter : Une nouvelle activité au sein du groupe 3, l’exploration des trous en hors-piste par CB et ses assistants TLC et PT (cf photos), une monitrice a d’ailleurs conseillé à CB de prendre des cours de ski. C’est curieux car elle n’est jamais tombée lorsqu’elle était dans le groupe 4, serait-ce une technique d’approche ?!!
Même technique pour CT toujours proche des dames pour rechausser !
Dans le g3 c est le ski en 3 temps, 1er la remontée 2e la descente 3e le ramassage des copains(ines)
Attention cependant, on s’est laissé dire qu’il y avait eu tentative d’encerclement d’une petite anglaise qui s’extirpa du groupe en répétant ‘I CAN DO IT !’, calmez-vous messieurs !A nous les petites anglaises ! , c’est dans le film !
Comme chaque année nous avons été gâtés à Bonne Valette par la bonne humeur de Laetitia et l’excellente cuisine de Jean-Noël. Merci
Malgré Omicron, on a semble-t-il encore bien rigolé cette année et positivé dans les deux sens du terme, vivement le prochain millésime sans virus.
A bientôt

Jean-Marc
PS : Merci à Dan pour sa prose toujours originale

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MORZINE : Janvier 2020

Après une année à rêver de cimes enneigées, nous voilà enfin rendus à Morzine pour le millésime 2020 !
Un nombre de participants en hausse par rapport à l'édition 2019, dont 6 nouveaux.
Merci à Bernard, Christian A, ainsi qu'à Tef d'avoir recruté ces jeunes et moins jeunes skieurs.
La neige est au rendez-vous, avec une hauteur annoncée de 1m30 à Avoriaz et 2m40 en haut des Hauts Forts.
La semaine s'annonce bien!
Après le repas du premier jour, certains avaient les spatules qui les démangeaient, et sont partis faire quelques descentes sur le domaine de Morzine.
Dans ce groupe," Bernard le barbu" pour reprendre les termes de J.M., s'est essayé à une nouvelle technique: "la Bernardine". En fait de technique, il s'agit de sauter du télésiège. Le pauvre s'est fait mal au genou et a dû apprendre à se servir de béquilles. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement.
A propos de technique, le séjour nous a permis d'en réviser quelques unes:
_ Le port du sac à dos devant pour prendre les remontées mécaniques, sinon il y a un risque de rester bloqué sur le télésiège: démonstration de S.G. et P.G..
- Les pioches, pas à bout de bras, n'est-ce pas Pascal ?
- Le planté de bâton, côté aval : J.M.
- Le repousse skieur et pliage de bâtons S.G et G.A. en haut de la Lèche.
- Le ski/strike au télésiège de Chavanette: Pascal, déconseillé à cause de dégats collatéraux.
Mais, c'est la technique du virage qui nous a occupée pendant 3 jours. Est-ce la position des épaules, du bassin, ou la contraction des obliques qui nous fait tourner à skis?
Vaste débat animé par O.S. et J.M. qui, avec force gestes ont mimé les différentes positions, et Claudine, en animatrice, faisant mine de ne pas comprendre pour relancer la machine.
D'ailleurs, si vous avez des infos, j'en connaîs que ça intéresse.
Séquence émotion, lors de l'A.G., Lolo, actif au sein de l'A.S. depuis ses 19 printemps, nous a annoncé qu'il rendait ses skis et ses bâtons de moniteur, mais, qu'il continuerait à participer à la semaine de ski (heureusement, car qui nous aiderait à finir les desserts!)
Merci Lolo pour ces nombreuses années au service de l'A.S. merci pour ta disponibilité et les cours que tu nous as dispensés.
Bon! le ski alors ! J'y viens ! Comme d'habitude, nos moniteurs ont trouvé les endroits où la neige était excellente. Du grand art !
Nous avons revu les H.P. classiques, crête d'Arare, Crozats, Patenaille, vallons de neige, Pierre plate, la Lèche, mais également refait les classiques oubliées : tels que Morzinette et vécu un moment magique aux montagnes d'hiver lorsque nous étions accompagnés d'une harde de chamois.
2020 marque également la découverte d'un nouvel H.P. à Le Pertuis que nous, profanes, avions appelé La Lèche B.
Le groupe 5, enfin 4, a repris avec Oscar et Herminator en forme, un Maurad retrouvé, et des petits nouveaux qui en veulent: Bruno et Florian.
Info: Nous avons découvert une nouvelle marque de skis: les skis "bouts de bois". En fait, il s'agit de skis en bois fabriqués par Patrick et Guillaume: des skis beaux et efficaces.
"Les bouts de bois, les skis qui envoient"
Pour les activités extra sportives,, la chorale a revu ses chansons lors de la soirée d'anniversaire de Jean-Luc. Ils chantent vraiment fort, et, comme d'habitude, le 15 janvier fut difficile: Y-a-t'il une relation entre les cordes vocales et les jambes fatiguées ?
Encore une belle semaine, une belle équipe avec bon esprit !
Vivement 2021
DAN
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  Explodécouverte
  Actualité du : 12/01/2021 ________________________________

Buenos Aires 30 septembre 2011

Surprise ! surprise ! nous sommes presqu'à l'heure et nos bagages de soute ont l'air d'être au rendez-vous ! est-ce qu'Iberia s'est amélioré? Nous verrons malheureusement au retour, qu'il n'en est rien......

Nous nous immergeons immédiatement dans cette mégalopole attirante et pleine de vie.
Il fait beau, nous sommes dimanche et une virée à LA BOCA s'impose, quartier populaire et coloré où évidemment une horde de touristes a envahi les lieux. Nous vérifions que Maradonna "sosie" est toujours à son poste; nous sommes rassurés, il est bien là, est ce le même que la dernière fois? la question se pose.

SALTA. il pleut !
C'est sous la grisaille que nous emprunterons un engin qui nous est familier: le télécabine qui nous mène au sommet de la colline surplombant Salta embrumée.
La momie d'une princesse Inca, dans un état de parfaite conservation, vient récemment d'être découverte dans la montagne, à plus de 4.000 mètres, elle a déménagé et se trouve au musée M.A.M. nous lui rendons bien entendu, une visite respectueuse.

CACHI village niché à 2.280 m au coeur des Andes est un village paisible.
Pour l'atteindre, nous traverserons un territoire sauvegardé, dit des "cardones" et peuplé de "guanacos" nous avons bien vu les cardones, ces énormes chandeliers épineux, mais de guanacos: point ! Ce n'était pas le jour ni l'heure.

Nous poursuivrons le lendemain à travers ce qui est appelé les vallées Calchaquies,vers CAFAYATE, par une piste poussièreuse mais néanmoins assez bonne.

CAFAYATE, endroit délicieux, au milieu de vignobles, de Bodegas, territoire des gauchos que nous verrons grâce à des manifestations festives qui ont précisément lieu.
Patrice nous déniche un personnage extraverti, parlant suffisamment le français pour se faire comprendre, travaillant pour une agence de tourisme.
Nous ferons affaire et parcourerons avec lui la Quebrada de las Conchas
ainsi que le site préincaïque de Quilmes. Pedro se prend un peu pour Pavarotti et nous entonnera qq airs de son répertoire.

Le bus pour CHICOANA nous laisse comme prévu à la" estation de servicios "de El Carril, où nous attendent nos hôtes de B.O.

B.O. est un hébergement de charme, tenu par Roxanna et Tony un couple de français d'adoption. Ils ont fait de cette petite propriété un endroit délicieux, aménagé avec goût. Leur disponibilté et leur gentillesse font que nous passons des moments très agréables.

Le minibus qu'ils nous ont recommandé pour nous rendre à TILCARA est conduit par un chauffeur novice, mais ils ne le savaient pas encore!!
Nous nous en rendrons compte progressivement; calages répétés, embardées, secousses, erreur d'itinéraire, sens inverse évité de justesse, bref ! nous sommes arrivés sains et saufs, malgré tout.

TILCARA est andain, population, climat. Nous chartons le lendemain deux voitures pour nous rendre aux "salinas grandes" immense plaine de sel située à 4.000 m d'altitude.
Ici, tout est sel, sièges, tables, murs des maisons, la route d'accès est impressionnante, c'est la route du Chili.

Tilcara est située dans la quebrada de Humahuaca, très connue pour ses roches colorées que les livres nomment la palette des peintres.
Le soir, dans une Peña, en dégustant un asado de cordero, nous apprécierons un musicien assez surprenant : Miguel Llave (il a enregistré en France un album : depuis la nuit des temps).

Le retour à Buenos Aires fut assez tourmenté.
Des informations erronées sur le vol de la LAN, ont entraîné l'abandon (provisoire et involontaire) de nos amis Charles et Marie.
Ils sont restés, à Salta !
Nous les récupèrerons, heureusement intacts et en parfaite santé, le lendemain.

Nous ne pouvions pas terminer ce périple sans une soirée dans l'incontournable temple du Tango argentin : "le Café Tortoni".

Le retour aérien nous a rassuré.
Nous nous demandions si Iberia était demeurée fidèle à sa réputation. Nous fûmes rapidement fixés.
On nous a offert retards conséquents et absence de bagage à l'arrivée, celui de Cathy, heureusement récupéré le jour suivant.
Merci Iberia.

A bientôt, pour une prochaine activité.!!!

A.E.
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  Randonnées
  Actualité du : 06/10/2024 ________________________________

Balade à Carro 29 septembre 2024

Balade à Carro
S'il y a bien un village à visiter sur le littoral méditerranéen, c'est celui de Carro ! La pêche est à l'honneur, les traditions aussi, ce qui lui confère un mode de vie bien particulier. Carro, c'est aussi son inévitable marché aux poissons. Tous les jours et toute l'année sur le port, au gré de la pêche du jour, c'est ici que vous trouverez le meilleur poisson ! Loups, sars, dorades et thons s'étalent sous vos yeux.
Le saviez-vous ? Le nom "Carro" dérive de la parole celte "Kar" qui signifie "Pierre". De même que "Couronne" est proche du terme "Cairon" qui signifie en occitan "Pierre taillée".
Un peu d’histoires sur la vie des traceurs de pierre de Carro
L'activité des traceurs a marqué le paysage du village. L’organisation de la carrière de la Pointe de Carro est d’époque romaine et rappelle la mise en oeuvre des blocs du Pont du Gard. C'est notamment sur le port qu'on embarquait les matériaux à destination de Marseille puisque les pierres ont servi à la construction de grands monuments tels que l'Abbaye Saint-Victor, l'Hôtel de ville et la Vieille Charité (entre le IIIème siècle avant J-C. et le XIXème siècle).
Avec tout ça…comment résister…
Donc…direction le port de Carro ce dimanche 29 septembre
10h…Stop à l’entrée du village…2500 coureurs à pied nous empêchent d’accéder au village. Pas un problème pour les 8 marcheurs que nous sommes. Nous quittons nos voitures bien avant le village et rejoignons le lieu de rendez-vous d’un pas décidé sous la forme d’une mise en jambe.
Nous traversons le village pour longer un front de mer et rentrons rapidement à l’intérieur des terres. C’est l’occasion de découvrir les fameux sites d’exploitation des carriers de pierre et nous élever tranquillement à 100 mètres au-dessus du niveau de l’eau, offrant un objectif maritime époustouflant de beauté d’un bleu profond et d’un ciel azur se confondant l’un l’autre. Nous profitons aussi, entre ciel et mer, d’un beau point de vue sur Marseille et ses îles.
En chemin on trouve des vestiges militaires de la seconde guerre mondiale formant un front dénommait « le mur de la méditerranée » réalisés par l’armée allemande en 1943-1944.
12h…on trouve un coin bien cocooning pour notre repas. 2 bonnes bouteilles de vins rouges et 1 excellent vin rosé, accompagne notre collation ainsi que des douceurs et un bon café pour finir.
14h…Maintenant on se dirige sur le chemin de retour, tantôt dans des voies urbaines, tantôt dans des pinèdes.
Enfin, on prend le sentier du littoral en direction du village jalonné de panneaux d'informations pour présenter la faune et la flore identifiées sur le sentier et aussi une usine électrique en cours de « déconstruction » d’EDF dont les trois cheminées restantes sur quatre de 140 mètres de hauteur étaient surnommées "les demoiselles de Ponteau".
16h…Un peu d’humour avec tout ça. Avez-vous vu « l’aventure c’est l’aventure » film de 1972 avec Lino Ventura, Aldo Maccione, Charles Gérard, Jacques Brel et Charles Denner…et bien nous avons tenté une réplique, sans le vouloir, en traversant par surprise un territoire de naturiste…loin de vouloir paraître, comme nos prestigieux comédiens, mais surtout l’impression de tomber dans un nid de frelons asiatiques et de vouloir vite en sortir sous une nuée de quolibets…
17h…retour au village de Carro pour finir dans la joie et la bonne humeur en levant le verre de l’amitié.
Envie de profiter de Carro plus longtemps ? pas de soucis une aire de camping-car est ouverte à l’année grâce à ses 78 emplacements...
A bientôt pour d’autres aventures…


Boucle de l'Espiguette 16/06/2024

Nous étions 11 randonneurs ce dimanche venus nous détendre en bord de mer sous un soleil magnifique, la mer était comme un miroir, une légère brise soufflait. Nous voilà à L'Espiguette la rando forme une boucle combinant la découverte du cordon dunaire très dynamique de la pointe de L'Espiguette puis des marais qui s'étendent derrière ces dunes juste au sud de Port Camargue ; nos pas ensablés nous ont conduit jusqu'au phare de L'Espiguette qui fût construit en 1869, emplacement idéal pour faire notre pause déjeuner à l'ombre des pins parasols. Sur le chemin du retour une petite halte s'imposait à la zone d'observation ornithologique où nous avons pu admirer les flamants roses.
La balade se termine à l'unique snach non loin du parking où semble-t-il nous étions les bienvenus.

Anne-Marie

Le Mont Caroux 05/05/2024

Ce dimanche 5 mai 2024,nous étions 17 marcheurs à St Martin de l' Arçon, charmant village au pied du Mont Caroux,dans le nord-ouest de l'Hérault.
Marjorie et Alain,les amis locaux,avaient organisé cette journée très agréable,journée qui nous a offert une succession de tableaux.
De plus,la météo pluvieuse du moment s'était mise en pause. Le temps était idéal pour marcher.

Au départ,le village de St Martin,ses maisons rénovées en pierre de schiste et granit,ses ruelles étroites et beaucoup d'espaces voûtés en rez-de-chaussée.
On croit entendre ici et là les pas des chevaux rentrant à l'écurie ou ailleurs le bêlement des moutons venus s' abreuver.

En arrivant à Colombières sur Orb,changement de décor: nous longeons la rivière l' Arles qui dévale du Mont Caroux: les pluies récentes lui ont donné un débit impressionnant... des cascades,des bassines,des pierres de granit polies par l' eau...

Et voici déjà un nouveau tableau : une ancienne voie de chemin de fer transformée en voie verte nous amène jusqu'à l'heure du repas,ou chacun a pu se restaurer dans un paysage bucolique.

Il faut songer à revenir à notre point de départ. C'est un nouveau paysage qui s'offre à nous: nous traversons une châtaigneraie composée de plusieurs petites parcelles délimitées par des murets en granit,une vraie mosaïque. Et si la forêt a vieilli,on devine aisément l'activité agricole d'antan.

La balade s'achève dans un café de Lamalou Les Bains,haut lieu des curistes,pour le traditionnel verre de l'amitié....et une surprise. Une jeune serveuse vient prendre la commande,nous sommes 17 consommateurs,soit environ une dizaine de boissons différentes...les mains dans les poches,souriante et décontractée,elle enregistre mentalement nos désidératas...et revient quelques minutes plus tard avec son plateau de boissons..; C'est un sans faute. Bravo mademoiselle.

Merci encore à Marjorie et Alain pour cette belle journée.

Adessias
Patrick


LES OCRES DE MORMOIRON 14/04/2024

LES OCRES DE MORMOIRON (Vaucluse) :
Balade sur les traces d'anciennes carrières exploitées pour leurs ocres.
Nous étions 14 randonneurs qui ont eu le privilège d'entrer dans un site majestueux, nous longeons le bord du lac et remontons un chemin sablonneux entre les ocres puis cheminons entre vignes, cerisiers et oliviers.
Nous poursuivons l'exploitation dans le très sauvage et pittoresque ravin de Sitos qui fût exploité pour ses ocres et continuons entre ces falaises étroites. Nous parvenons à une ancienne zone d'exploitation et passons devant des cavités creusées de ces falaises d'où un brin de fraîcheur nous surprend. Nous poursuivons le chemin et profitons des vues sur le Mont Ventoux et les Dentelles de Montmirail. Le temps particulièrement chaud nous a poussé vers la buvette du lac où nous avons apprécié nos boissons rafraîchissantes.
Magnifique journée, groupe très sympathique et bonne ambiance.

Anne-Marie

Barre des Cévennes
Le traditionnel week-end de Barre des Cevennes a eu lieu les samedi 28 et dimanche 29 octobre 2023.
Le groupe composé de 14 personnes a pu profiter de magnifiques paysages teintés de couleurs automnales.
Un samedi ensoleillé, un dimanche nuageux mais sans pluie, ces deux journées ont permis aux marcheurs de faire de belles randonnées lozeriennes.
Bien sur, comme chaque année, la table de Line et Didier Combes, les propriétaires du gîte, a ravi les papilles.
Comme à l accoutumé, le week-end s'est terminé au bar du village Le Pompidou, chez Marinette.
Marinette, nonagenaire, gère de main de maître son bar, pardon son bistrot, son café comme on dit ici.
Pour le groupe, elle a écourté sa sieste afin de nous servir, boissons fraîches ou chaudes, selon.
Merci Marinette. A l an prochain.
Adessias
Patrick


La randonnée Les Concluses de Lussan

Ouf, ce dimanche 24 septembre 2023, rien à l horizon : pas un flocon, pas un orage, même pas un nuage.
Seulement un ciel bleu et un soleil radieux au dessus de Lussan, village de départ de notre randonnée des Concluses.
De plus, un léger mistral maintient une température agréable.
Bref, le temps idéal pour marcher.


Nous sommes 13 à faire cette balade, une des plus belles du Gard. Avec un dénivelé positif et négatif de l ordre de 700 mètres, chemins et sentiers nous amènent jusqu'au lit d un ruisseau dénommé l Aiguillon, lieu dit les Concluses.
Au fil des siècles, ce dernier a creusé la roche calcaire et a poli les pierres les plus dures.
Résultat, un défilé rocheux encaissé, des parois abruptes taillées au couteau, des grottes naturelles repaire des rapaces.

A cause de la sécheresse estivale, l Aiguillon ne coule pas ce 24 septembre. Aussi, nous pouvons nous engager à pied dans ce défilé long de plusieurs centaines de mètres : l Aiguillon a façonné au fil du temps des gorges naturelles, des grottes, un canyon digne du Far West.

La remontée vers le lieu de notre pique nique étant ardue, c'est avec plaisir que chacun se pose au lieu dit du menhir.
Le retour sans difficultés vers notre point de départ nous permet d admirer une belle plaine garnie ici et là d oliviers.

La balade se termine par le traditionnel verre de l amitié, dans le village pittoresque de Lussan.
Rendez-vous pris pour la prochaine sortie à Barre des Cevennes prévue fin octobre.

Adessias
Patrick


La randonnée en Camargue

Nous sommes 16 ce dimanche 21 avril au départ du phare de la Gacholle.
Ce phare se situe en plein cœur de la Camargue, entre les Saintes Maries de la mer et Salin de Giraud....cette Camargue, lieu magique qui vous transporte dans un autre monde, celui de la bouvine avec ses taureaux et ses chevaux, celui de paysages atypiques avec ses roubines et ses marais, celui des flamands roses et des aigrettes....une Camargue sauvage et authentique.
Le mistral qui soufflait très fort depuis plusieurs jours s est enfin calmé ( Anne Marie, Maria et Adrien en repérage du parcours la semaine dernière en ont subi les violentes bourrasques. Merci pour leur abnégation)
La pluie tant attendue se fait encore attendre : c est donc avec un temps printanier que nous découvrons cette balade.
Le parcours est facile , dénivelé proche de zéro, et très agréable.
Notre chemin nous amène sur la très grande plage des Saintes Maries de la mer, avec en fond sonore le ressac des vagues.
Pour le repas, les dunes de sable nous offrent un confort inégalé avec vue mer...
La randonnée s achève au phare de la Gacholle où Maria et Adrien nous offrent le verre de l amitié. Merci à eux.
Adessias.
Patrick Bonzi


La randonnée dans les gorges du Gardon le 12 mars 2023

C'est par un beau temps printanier que nous entamons ce dimanche 12 mars 2023 la randonnée des gorges du gardon au départ de Collias.
La première partie offre de nombreux points de vue, les gorges que l'on surplombe avec ses falaises vertigineuses,la garrigue uzétienne,Uzès, ses villages environnants, un peu plus loin le Mont Ventoux, le Mont Bouquet, le Pic Saint Loup, et à l'horizon le Mont Lozère et les Cévennes.
A mi parcours,le sentier bifurque et nous voila dans une descente rocailleuse vers le gardon,avec des points de vue magnifiques,notamment le site de La Baume et sa grotte où vécut Saint Veredeme,ermite, à la fin du 7eme siecle. Deux anciens moulins complètent le paysage .
Après un déjeuner réparateur,nous repartons vers Collias en longeant la rivière le gardon qui nous offre de multiples paysages tous différents.
La journée se termine au café du village pour les 9 randonneurs autour du verre de l'amitié.
Patrick Bonzi




La randonnée dans les Calanques le 27 novembre 2022

Nous aussi, à Marseille, on a nos Fjords…, on rajoute un maximum de voyelles et cela devient Calanques au sous-titre évocateur (Morgiou, Sormiou, Sugiton...) Une météo bien disposée pour ce dimanche 27 novembre 2022. La randonnée, dans ce massif entre mer et montagnes, s’annonce agréable et conviviale. Beaucoup de retrouvailles et de sympathiques nouveaux arrivant dans ce groupe de 20 randonneurs aguerris.
Départ par une petite montée qui permet de traverser le campus universitaire de Luminy entouré d’une belle forêt qui recèle une biodiversité exceptionnelle. On y voit notamment le chêne blanc de Provence. Plus loin s’étendent de grandes pinèdes. Nombreux sont les arbres qui sont ici plus que centenaires, malgré le fréquent passage du feu qui a obligé la forêt à se reconstituer plusieurs fois. Le groupe s’étire mais les quelques arrêts qui permettent de voir Marseille « d’en haut » facilite le regroupement.
Ça y’est nous sommes sur la crête qui domine la Calanque de Morgiou, le crépitement des flashs se fait entendre…ça c’était avant, maintenant, c’est « attend je sors le smartphone ». La lueur du ciel est laiteuse et s’accompagne d’un reflet nacré sur la méditerranée. Une première petite descente s’amorce par un sentier rocailleux que les plus téméraires de nous empruntent avec un tempérament guerrier face à l’élément…
Puis une deuxième…, cela devient sérieux et l’esprit d’aventure anime les cœurs…
Sur la droite, nous laissons le belvédère qui nous accueillera après le déjeuner car les estomacs commencent à montrer des signes particuliers d’impatience…. Haaaaa…le déjeuner, nous pique-niquons à 200 mètres de hauteur au-dessus de la Calanque de Sujiton ; après l’incontournable pastis offert par André le menu se déploie ; pâté en croute, quiche, génoise, pate de fruit, petit nounours, tout y est, il ne manque rien…y compris de bons vins venus de région réputées...
Retour, immanquable, par le Belvédère ou « La tour d’Orient » à 250 mètres d’altitude avec vue imprenable. D’un côté, la calanque de Sugiton, le massif du Puget, la grande et la petite Candelle, le bec de l’aigle de la Ciotat et de l’autre une vue plongeante sur le petit port de Morgiou qui accueillit le 7 novembre 1622 le Roi de France Louis XIII pour une partie de pêche, et aussi sa centaine de cabanons et son cap qui abrite la grotte Cosquer occupée il y a plus de 25000 ans et aujourd’hui sous 37 mètres de la surface de l’eau. C’est, à partir de ce belvédère, que Patrick, aurait souhaité faire une descente en rappel sur corde, mais malheureusement cette variante, prise in extrémis par d’autres talentueux jeunes gens ne lui fut pas accordée, la prochaine fois Patrick…
Retour aux voitures, là il semble qu’un élément protocolaire semble s’établir à la faveur d’une excellente initiative de la part de Catherine et Jean-Louis à savoir un petit verre de cidre pour clôturer cette merveilleuse journée dans le massif des Calanques.

Jean-Paul

Traditionnelle randonnée de Barre des Cévennes 22 et 23 octobre 2022

" Et un kir à la châtaigne pour ouvrir l'appétit..." c'est en ces termes que Didier Combes, propriétaire du gîte à Barre des Cévennes, nous accueille pour le repas du samedi soir.

Nous, ce sont 22 personnes présentes pour le traditionnel week-end à Barre des Cévennes, cette année les 22 et 23 octobre 2022.

Donc, je disais un kir en guise de bienvenue suivi d'une très bonne soupe de légumes à l'ancienne au lard.

Vient ensuite la terrine de lièvre accompagnée du saucisson pur porc maison et de saucisses fricandeau.

Voilà la salade verte du jardin finement aillé.

Arrive ensuite la fameuse omelette aux cèpes qui ravit les papilles gustatives.

Maintenant, c'est un gigot de sanglier accompagné d'un gratin dauphinois.

Incontournable le plateau de fromages du coin et d'ailleurs.

Pour finir, une magnifique île flottante, aussi bonne que belle.

Le tout accompagné d'un bon vin rouge, bu avec modération bien sûr.

Enfin, quelques-uns ont pris un café ou une tisane, les autres beaucoup plus nombreux et nombreuses une verveine... non, pas en tisane mais celle qui titre 40°...

Une fois de plus, le gîte de Didier Combes et son épouse n'a pas failli à sa réputation : un accueil chaleureux et amical, une table gourmande et authentique avec des mets du terroir.
C'est l'ami Dédé qui a découvert ce bijou en 1993 ou 1994 ( les historiens ne sont pas tout à fait d'accord sur l'année).
Merci Dédé, on t'embrasse.

En se quittant le dimanche après-midi, chacun y allait de son commentaire :
- extraordinaire la table du gîte
- oui, mais la balade du samedi ?
- Très bien. Verdoyante et sous le soleil, très sympa. Mais la table chez les Combes...on se la refait l'an prochain.
- oui, mais la balade du dimanche?
- dans la châtaigneraie, très joli. Un panel de couleurs qui va du vert au marron en passant par le jaune. Mais la table du gite...on se le refait l'an prochain.

Ainsi va la vie...

Patrick Bonzi


Dimanche 25 septembre 2022 « La Servelle » Drôme Provençale

Ce qui devait être un week-end humide, froid donc très défavorable… s’est transformé en une balade
automnale de qualité, guidée par Lulu originaire des lieux. Et comme le dit André B « ce que dis la
météo est à convertir en un pourcentage de 50% de vrai et 50% de faux… » donc…nous avons eu de
la chance…
Vendredi soir, dîner à « la table de Jean-Louis » à Arnayon petit restaurant niché en bordure d’une
petite départementale dans un paysage sauvage et escarpé figurant comme un des plus beaux sites
de la Drôme, bref, pour 25€ apéritif au choix, entrée, plat, fromage, dessert, vin, café ou
thé…prudent de réserver… après ce bon festin et avoir été raccompagnés sur le pas de la porte par
Jean-Louis et son épouse, retour à l’auberge de Saint-Nazaire pour André B et Nadia.
Samedi matin, impossible de ne pas faire une petite visite à la coopérative de Die d’où sort la
fameuse clairette, douce et fruitée, avec ses 2000 ans d’âge…là, en fin connaisseurs, Lulu, Joëlle et
André ont dégusté différents vins pour donner une appréciation avisée sur celui qui allait remporter
tous les suffrages… nul doute que la tenancière du lieu retiendra leur critiques…et saura parfaire un
affinage subtil ne souffrant d’aucune autre comparaison…
L’après-midi, Anne-Marie nous rejoint et nous entamons une promenade particulière à la distillerie
Bleu Provence de Nyons, entreprise de distillation d’huile essentielle de lavande. Voyage initiatique
au royaume des senteurs de Provence où la lavande est reine. Lulu et Nadia comme shootées aux
odeurs ne se retiennent pas et prennent du temps pour réaliser que ce même temps passe vite… sur
le retour vers Saint Nazaire le désert, en passant par le col de Muse et en redescendant la route du
petit Paris, petite halte à la chapelle St-Thomas construite en 1634 accolée au cimetière du petit père
La Chaise.
Puis visite de Rochefourchat, qui bat le raccord de la plus faible population de France. Une vieille
église, trois maisons en pierre et une cabine téléphonique hors service…et son cimetière. Voilà, vous
avez fait le tour de Rochefourchat. Avec seulement 1 habitant, Monsieur le maire, élu à l’unanimité…
n’a pas beaucoup de contrainte. Les délibérations municipales se font à la mairie qui fait aussi office
de gîte.
Le dîner du soir à lieu à l’auberge médiévale de Saint Nazaire le Désert. Ancien château du 15ème
siècle.
Dimanche, le grand jour…ascension dans les nuages en empruntant une piste de terre pas trop
défoncée…arrivée sur un plateau couvert d’alpage, paradis de la lavande sauvage, des herbes folles,
des troupeaux de vaches et de brebis et son Patou…au loin, caché par les nuages, le massif du
Vercors. Tout proche, des montagnes aux noms étranges, Les trois becs…, La Servelle…, Angèle…,
Couspeau…le tout entre 1500 et 1600 mètres d’altitude. Par temps clair, nous aurions pu voir Le
massif de l’Oisans, du Dévoluy, du Mercantour et le Mont Ventoux. Sur le plateau, vestiges d’un
passé douloureux, trois gros cairns symbolisent l'emplacement des feux allumés par les maquisards pour
les parachutages d'armes par les anglais pendant la seconde guerre mondiale.
La balade est ponctuée par une cueillette de champignons (Rosé des prés, bolet) sous le regard avisé de
Lulu à qui nous devons de nombreuse explications et réponses aux questions sur la particularité du lieu

Jean-Paul S

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Randonnée à Palavas du 8 Mai 2022

Ce dimanche 8 mai 2022, ils étaient 15 randonneurs à quitter Palavas partis rejoindre la cathédrale St Pierre St Paul de Maguelone.
Le trajet aller longeait le canal du Rhône à Sete, entre l étang du Prevost et l étang de l Arnel : pas un arbre, pas un arbuste mais un ciel bleu azur et un soleil ardent.
Heureusement, une brise marine rafraîchissante a accompagné le groupe tout au long du parcours.
Aux alentours de midi, changement de décor : dans un écrin de verdure, entre la mer, les étangs et la lagune, se dresse la cathédrale Saint Pierre Saint Paul (10ème siècle) de Maguelone.
Avec une hauteur sous voûte de plus de 20 mètres, une épaisseur des murs de 2,50 mètres, elle domine cet environnement marin.
A l intérieur, la fraîcheur surprend et quelques chanceux ont pu profiter de chants liturgiques.
Dans cette ambiance quelque peu méditative, les randonneurs ont pu déjeuner dans un parc aménagé.
Le retour s'est effectué côté plage ; le groupe a croisé ici ou là des vacanciers adeptes du bronzage...et du naturisme.
La journée s est terminée par le verre de l amitié.

Patrick Bonzi
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Ballade dans le massif de Coutach le 03/04/2022

La randonée ce dimanche 3 avril s'est bien passée, tellement bien que nous l'avons ralongée de quelques kilomètres avec l'accord de tous les participants; nous n'étions pas très nombreux, 5 personnes au total, André Bonnet ayant eu la gentillesse de se déplacer jusqu'à chez nous et il est bien rentré à cette heure-ci.

Nous avons donc débuté la rando en partant de Quissac dans le massif de Coutach qui est un massif calcaire gardois pour arriver à Sauve charmant village médiéval classé village de caractère au pied duquel coule le fleuve le Vidourle.

Au retour nous avons pu admirer les taureaux parqués dans leur enclos et pour terminer faire une brève visite du village de Quissac.

Nos jambes nous ont dit stop nous avions atteint 20 kms. Très belle rando ambiance chaleureuse avec la petite équipe.

A-M
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LA BARRES DES CEVENNES Octobre 2021

Nous étions 21 réunis à la traditionnelle randonnée de la Barre des Cévennes.
Samedi, le soleil est avec nous et nous nous mettons en marche vers 11H pour gagner le col des Faisses. Chemin faisant certains grappillent des mures d’autres ramassent des champignons, vénéneux ou pas !!!! Quelques uns s’interrogent sur le nombre de pas effectués, les applications des portables ne sont pas tous au diapason !!!
Nous rencontrons :
- Des chasseurs à la recherche de leurs chiens, allons nous tomber nez à nez avec un sanglier ?
-Des ânes, futurs accompagnateurs de randonneurs
- Un troupeau de vaches en liberté à qui nous devons céder le chemin.

Nous déjeunons, en route sur une partie herbeuse, Patrick a apporté des bouteilles de pouilly fumé.
Une fois le breuvage dans nos verres, c’est avec émotion que nous les levons à la mémoire de DéDé qui appréciait ce vin et cette randonnée dans les Cévennes. Le soir, au repas, un hommage est rendu à André, en présence de nos charmants hôtes Madame et Monsieur Combes. Une minute de silence est respectée après un discours touchant de notre ami Jean-Paul.
Le dimanche, comme prévu, la pluie est bien présente et nous nous quittons après le petit déjeuner et avant l’épisode Cévenol annoncé par la Météo.

Florence

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Samedi 12 octobre 2019 : Barre des Cévennes: LOZERE
"Voilà ! vous versez dans le verre un peu de sirop de canne comme ceci, vous tournez le verre comme celà afin de bien étaler le sirop, puis vous versez le rhum..............."
C'est en ces termes que nous sommes tous dans la cuisine du gîte de la Barre des Cévennes, assistant avec attention à une brillante démonstration de confection de "Ti-Punch"; le Maître de conférence étant l'ami Charles, expert-diplômé en la matière.
Il faut reconnaître que Maître Charles a bien fait les choses, en plus du rhum Martiniquais, sirop de canne martiniquais et accras martiniquais soigneusement confectionnés par son "cuisinier attitré", planteur pour ces Dames, Ti-Punch pour ces Messieurs.
Un grand merci à Charles.
Comme vous l'avez certainement deviné, nous sommes chez la famille Combes à la Barre des Cévennes.
Pour une raison encore inconnue, la météo ne nous est pas favorable. Un épais brouillard recouvre la région, on n'y voit pas à trois mètres.
Les randonneurs n'ont pas encore d'anti-brouillards, nous partons cependant bravement de bon matin sur un sentier dont il fallait deviner la topographie.
De petits batraciens nous regardent passer, ornés pour la circonstance de couleurs noires et jaunes; ce sont des salamandres.
Le site qu'il ne faut surtout pas rater est celui du pique-nique; il émerge enfin du brouillard, deux tables massives en pierres attendent que nous étalions nos victuailles.
Les repas sont mémorables chez Combes. L'abondance et la qualité des plats sont toujours d'actualité, pas moins de huit préparations différentes se succèdent, offrant à nos ventres affamés des saveurs rustiques.
Dimanche matin, le temps ne s'arrange mais pas du tout: épais brouillard genre purée de pois. Nous en profitons pour faire honneur au copieux petit-déjeuner.
D'un commun accord, il est décidé de remettre notre activité à une autre fois.
Ce qui est sûr, c'est que nous reviendrons !!!

A.E.

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Dimanche 2 juin 2019:LE CANAL DU RHONE.

C'est l'Afrique !!! Le sentier poudreux, le soleil implacable; on dirait le "Sud" comme le dit la chanson !
Nous sommes simplement aux alentours de St Gilles à l'orée de la "Petite Camargue".

La végétation herbacée est luxuriante, mais, de l'ombre: point!!
Nous marcherons en plein cagnard.

Le Canal est maintenant proche, et, par chance, une rangée d'arbres, offre une ombre généreuse, tout à fait favorable au pique-nique, d'ailleurs, c'est l'heure.

Le Canal semble être une voie de navigation pour la plaisance fluviale; les bateaux se succèdent. Cela donne une idée à certaines qui lèvent le pouce à leur intention.
Il faut nous rendre à l'évidence que ces plaisanciers là ont perdu le sens de l'humour.

La route, toujours poudreuse nous mène jusqu'à un coquet "Castelet" dit de "L'Espeyran" qui offre aux plus curieux, l'opportunité d'une visite dans le parc ombragé par de magnifiques cèdres.

St Gilles est en travaux, chaussées et trottoirs sont défoncés; un vrai chantier.
Ah! voilà enfin un café avec terrasse; la tradition sera respectée !!

A une prochaine !!

A.E.

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CORCONNE, OU LE SENTIER DE LA VIDOURLE : Le Dimanche 31 mars 2019

"Sais-tu où nous avons rendez-vous?" me demande Jean-Paul..
"Non ! j'ai oublié de le faire figurer sur la diffusion".

Mais voici que surgit Anne-Marie, les bras en sémaphore; nous sommes arrivés.

CORCONNE ! Avec un nom pareil, il y avait matière à laisser vagabonder son imagination; en fait, nous nous trouvons dans un charmant village à demi médiéval.

Mais où sont passés les cantonniers d'antan? Le sentier est parsemé de roches concassées, c'est une méthode qui a tendance à se développer même si cela est d'un réel inconfort pour la marche.

Nous serpentons maintenant à travers des blocs de rochers erratiques, modelant un environnement tout à fait pittoresque.
Le sentier se transforme en grimpette, ce qui n'est pas pour nous déplaire.
Tiens! tiens! nous découvrons un site grandiose ressemblant à une immense caverne sans fond.
Il s'agit du fameux "Pont du hasard" l'ensemble forme une arche rocheuse spectaculaire.

Nous poursuivons notre grimpette pour arriver à quelques encablures , sur un espace en surplomb, où fut construite la Chapelle de Corconne, édifice austère et dépouillé: extérieur comme intérieur.
A l'extrémité du surplomb, une croix métallique domine la vallée, sur laquelle Florence s'entraîne à l'escalade. Le point de vue y est grandiose sur Corconne et le paysage environnant.

Ah! voici le lieu choisi pour le pique-nique!
Oh! le beau tapis de pierraille que voilà !
La vue est cependant splendide sur le massif des Cévennes et aussi au-delà!
Nous abandonnerons vite l'idée de nous livrer à notre sieste traditionnelle; il est impensable de nous installer sur ce sol au confort un peu trop minéral!!!!

L'itinéraire se poursuit à travers garrigue et végétation méditerranéenne. Certains herborisent et Patrick en profite pour s'essayer sur "plannet" à l'identification de certains conifères.

Il subsiste à Corconne un seul et unique café.
Il faut vite en profiter car le patron m"a confié qu'il n'allait pas continuer encore longtemps !!!
La terrasse y est accueillante, nous investissons les lieux avant de nous quitter.

A une prochaine à toutes et tous.

A.E

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LES CARRIERES DE JUNAS : Dimanche 18 Mars 2018

C'est une mise en jambe de début de saison avec le plaisir de se retrouver, et puis..... la météo qu'on annonçait perturbée, fut finalement clémente réservant ses chutes de neige à d'autres régions; merci le Ciel !!

De nombreux villages possèdent un Château, c'est donc au départ du Château de Villevielle (11ème siècle) que nous nous enfonçons dans ces sentiers rocailleux.

Tiens ! les ruines d'un moulin à eau, et puis un peu plus loin, pour ne pas être en reste, celles d'un moulin à vent, que le temps a privé de ses ailes !!!
On ne peut s'empêcher de faire une comparaison avec ces parcs d'éoliennes qui, en rangs serrés dénaturent maintenant le paysage.

Une robuste table de pierre, digne du Moyen-Age, nous offre un solide confort pour installer notre pique-nique.
Nous sommes dans les anciennes carrières de JUNAS, où, pour agrémenter le site, des artistes inspirés ont laissé leur inspiration sculptée sur la pierre.

Sommières ! un petit bistrot coincé entre la route et la VIDOURLE, un petit moment pour notre petit pot devenu traditionnel.

A une prochaine rando !!

A.E.
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LES CEVENNES : W.E.des 28 et 29 octobre 2017

Le sol crisse sous nos pas, ce sont les cosses de châtaignes qui jonchent en abondance le sentier.

Le soleil s'est invité; il tempère l'effet de la bise glaciale qui est bien présente.
Nous avons laissé le petit village du Pompidou derrière nous, et descendons, à l'abri temporaire du vent un sentier facile.

Bientôt, apparait une petite église de style Roman, c'est l'église de Saint-Flour, désaffectée, mais pas pour tous, car à l'intérieur, un volatile apeuré par notre arrivée, se démène dans tous les sens, se heurtant aux vitraux; fort laids d'ailleurs.

Nous sommes en pays Cévenol, si attirant, si sauvage; c'est toujours un émerveillement de pouvoir contempler ces vallons boisés, dorés par l'automne, vierges de toute constructions.

C'est devenu une tradition de passer un W.E. à la Barre des Cévennes, chez la famille Combes, où les repas sont pantagruéliques, ce qui fait dire à Jean-Paul, avec humour, que dans notre activité, le gîte est le principal, et les randonnées, l'accessoire.

Le circuit de la mise en route du samedi nous amène à accrocher le regard inquisiteur et inquiétant d'un monstrueux spécimen de la race bovine: un taureau blanc dont, selon Patrick, le poids doit avoisiner la tonne. Impressionnante rencontre.

Une emplette de noix au village nous fit connaître un habitant qui nous fît don de châtaignes, (elles sont petites cette année). Joëlle, avec compétence et détermination, a pris les choses en mains. Ces châtaignes soigneusement grillées dans l'âtre du gîte, bien que petites, étaient savoureuses.

Bien sûr nous n'avons pas omis de nous payer de petites siestes, installés inconfortablement sur un sol bien rocheux, pour se protéger d'un vent toujours présent.
Je pense que nous aurons bientôt la très grande chance de pouvoir admirer les remarquables créations photographiques issues du mitraillage du duo Nadia/tablette.
Elles devraient être bientôt sur le site.
A une prochaine.



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Dimanche 17 septembre 2017
nous avons démarré la rando en longeant la Vidourle (cours d'eau Cévenol), dont les crues mémorables "les Virdoulardes" tout en étant au pied du bois de Coutach.
Nous avons pu découvrir les champs de micocouliers, bois servant à la fabrication des fourches. Nous avons enjambé la Virdoule.
Sur le vieux pont du 12ème, nous avons franchi quelques marches afin d'arriver sur les hauteurs du village médiéval de Sauve, et, peu de temps après, sur un plateau.
Nous avons longé l'enceinte du château de Roquevaire (rocher qui varie de couleur selon la lumière). Un petit arrêt s'est imposé, car nous pouvions visiter le Château: W.E du Patrimoine. Son origine est incertaine,. On tient pour sûr, qu'il fut transformé au 12ème par Henri Delmas, Abbé commanditaire de Sauve, il en fit sa résidence de repos.
Roquevaire fut incendié en 1703 par une troupe de Camisards. Pendant 2 siècles, il servit de caveau à une famille protestante.
Nous avons rejoint un vieux chemin entre des murets de pierres sèches qui révèlent l'ampleur du travail que les Sauvains ont accompli pour dépierrer leurs parcelles, afin de pouvoir les cultiver.
Sur notre sentier s'est trouvé l'Aven de Sauve, gouffre de 40 m de profondeur et 90 m de circonférence.
Il fut exploré par un célèbre spéléologue Edouard Mattéï, qui démontra que la Vidourle se perd sous terre pour affleurer au niveau de ce gouffre.
Nous avons déjeuné au Mazet restauré (construction typique de la garrigue. Nous avons continué notre chemin pour enfin, atteindre la porte des secrets et avons traversé la "mer des rochers". Spectaculaire est ce chaos de rochers, appelé lapiez qui domine la végétation. C'est un phénomène propre aux roches calcaires mis à nu. Ensemble de rochers sculptés par la pluie et le vent.
Nous avons descendu vers le village, et avons profité de cette journée du patrimoine pour visiter le conservatoire de la fourche.
A Sauve, les fourches poussent dans les champs, selon un savoir faire datant du 12ème. Cet écomusée nous invite à percer un mystère jalousement gardé depuis plus de 800 ans.
Nous avons pénétré dans l'antre de production des fourches, et avons découvert un savoir faire ancestral unique en France.
Pour terminer, nous avons flâné dans ce magnifique village médiéval, où Maria et Andriano ont eu la gentillesse de nous offrir un pot, après ce parcours d'une vingtaine de Kms.

Anne-Marie DAMADE

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Dimanche 25 Juin 2017
Bruno nous avait alerté, c'est donc sans surprise que nous trouvons, ce dimanche matin, le point de départ de notre randonnée bouclé: motif: course pédestre au départ et à l'arrivée de GIGONDAS!
Nous trouvons néanmoins des places pour nos voitures, sur l'aire accueillante d'une Cave à vin, si nombreuses dans le secteur.
Il fait très chaud; plus de 35° à l'ombre. Le petit village de Gigondas connait une forte effervescence: participants à la course, badauds et amateurs venus encourager les coureurs.
Il nous suffit de franchir la ligne d'arrivée (à l'envers) pou trouver la montée, début de notre itinéraire qui est commun avec celui de la course.
Nous croisons donc beaucoup de participants: des jeunes, des plus agés, des décontractés, des tendus et anxieux; ils sont en descente, l'arrivée est proche.
Un peu d'ombre le long du chemin nous fait le plus grand bien.
Un lieu de pique-nique ombragé constitue aussi la croisée des chemins.
Deux options: une variante facile, et un sentier pentu menant à la base des Dentelles.
Le choix: 8 sur 10 bravo!
Finalement, la difficulté essentielle de cette rando, fut, au retour à Gigondas, de dégoter un bistrot.
Il n'y en a pas!! juste des restaurants et des Caveaux à vin.
Finalement, est déniché, un petit restaurant qui nous servit à boire.
Ouf! la tradition est respectée.
A bientôt

A.E.

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Dimanche 26 Mars 2017: LES ALPILLES
Des trombes d'eau tombent sur la région...!!!
Mais çà c'était le samedi.
Dimanche matin, grand soleil, ciel d'azur....
Nous sommes à Eygalières, petit village provençal, dominé par un piton rocheux sur lequel, on peut apercevoir la ruine d'un château !
Nous nous enfonçons dans les Alpilles, petit massif montagneux dont le nom dérive d'un vieux dialecte provençal :Lis Aupiho, les petites Alpes;
Petit Calan à notre gauche, gros Calan à notre droite, nous poursuivons donc entre les Calans, dans une combe boisée qui débouche sur une ligne de crête, d'où le panorama est de toute beauté.
Marie et Charles en profitent pour éplucher leur première banane!!après que Charles soit allé rechercher les sous qu'il avait généreusement semé sur le chemin.
Nous sommes à 220m d'altitude!!!!mais la vue vaut vraiment le coup.
Les crêtes dentelées dans le fond, les deux Calans de chaque côté, le village que l'on aperçoit dans une échancrure, avec dans le lointain, le Ventoux encore coiffé de neige.
nous regagnerons Eygalières, après la petite sieste traditionnelle. Le bourg est bien animé par un concours de pétanque et une brocante de rue.
A bientôt les Amis pour une prochaine rando.

A.E.

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Dimanche 6 novembre 2016, Autour de Quissac
Tiens ! des argousiers, les baies sont un peu mûres, mais excellentes ! et puis, il paraît que c'est bon pour le foie!!
Le sentier que nous suivons doit nous conduire à la Chapelle se Pise, but de cette randonnée.
La météo, bien intentionnée, avait prévu un temps pluvieux et perturbé! Il fait beau !!
C'est un environnement champêtre que nous traversons.
Les propriétés de la gauche du chemin, encombrées par un rassemblement de cavaliers avec leurs montures, dans celles de droite, des taureaux camarguais nous regardent passer d'un air placide (en apparence!)
Un peu plus loin, une retenue d'eau semble être le lieu favori de détente de quelques pêcheurs somnolents qui surveillent d'un œil distrait les cannes à pêche installées en permanence sur la berge.
Mais, voici que le décor change, tout paraît bien ordonné. Nous arrivons dans un domaine privé ouvert au public.
Au détour du sentier apparaît la fameuse Chapelle de Pise, bâtiment austère, comme le sont souvent les Eglises Réformées.
Nous ne pourrons visiter l'intérieur, elle est fermée comme un coffre-fort !
Le soleil déclinant met en relief la beauté et la sérénité du site.
Nous en profitons pour faire une petite halte.
Le voitures ne sont plus loin maintenant.

A.E.

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W.E des 3 et 4 septembre 2016: L'Ile Sainte Lucie
Le chemin poussiéreux de terre blanche est aveuglant sous un soleil tropical. Nous arrivons à ce que l'on peut appeler le parking de l'Ile Sainte Lucie.
Inutile de chercher une place à l'ombre sur ce terrain en plein champ: il n'y en a pas. La température est d'au moins 35°.
L'Ile est partiellement ombragée. Il nous suffit de passer l'écluse pour arriver dans ce sanctuaire.
Le parcours est facile, la vue est belle, nous faisons le tour de cette petite île coincée entre la lagune à l'ouest et la Méditerranée à l'est.
Nous terminerons en longeant un canal marin creusé à l'époque Romaine !!!
Quelle chance, nous découvrons une table de pique-nique accueillante et ombragée !
Pique-nique 3 étoiles.

A.E.

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Dimanche 19 juin 2016, St Quentin-la-Poterie
Le museau au raz du sol, Gaîa file, suivant un parcours dont elle seule détient le secret.
Soudain! elle s'immobilise, renifle attentivement le sol,et commence à gratter. Elle s'assoit ensuite tranquillement, regardant Patrick venu extraire un tubercule ! c'est une truffe!!
Elle sollicite ensuite, la petite récompense qu'elle sait avoir méritée.
Gaïa est une chienne labrador de couleur fauve, c'est un chien truffier, elle a suivi, avec succès, une formation pour ce type de recherches.
Nous sommes sur une parcelle de forêt où prospèrent les chênes verts et les noisetiers, arbres propices à favoriser la croissance de certaine catégorie de truffes, blanches en cette saison.
La récolte est bonne, et Gaïa a bien travaillé.
Après un petit périple dans la garrigue, Pascale et Patrick, fins connaisseurs, nous préparent une dégustation de ces petits tubercules: pain, beurre, fines lamelles de truffes, un peu de sel, et le tour est joué, c'est excellent.
Un grand merci à eux pour cette heureuse initiative instructive et gustative.
A bientôt pour une prochaine rando.

A.E.

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RAMATUELLE : Dimanche 24 Avril 2016
C'est en tee-shirt que nous abordons ce sentier des douaniers, rebaptisé,(actualisation oblige): sentier du littoral.
La Presqu'île de St-Tropez est relativement épargnée par l'urbanisation envahissante de la Côte.
Cela oblige néanmoins le sentier à suivre un itinéraire capricieux afin de contourner certaines propriétés côtières; il s'ensuit, qu'une partie du parcours comporte des marches d'escaliers, ça monte et ça descend.
Le rivage méditerranéen en cette saison est particulièrement agréable, en plus des couleurs, le parfum délicat des fleurs de printemps de toutes variétés accompagnera notre périple.
Une crique accueillante offre à un certain l'occasion d'une petite sieste .
Zoé, vaillante, nous a suivi allègrement jusqu'à ce que la succession des escaliers aux marches un peu hautes ne l'épuise. Elle trouva un bon portage dans le sac à dos de son maître.
A bientôt pour une prochaine virée.
A.E.

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Haut Languedoc : les 12 et 13 septembre 2015
Est ce bien intéressant de commenter un W.E de pluies importantes, nous contraignant à qq visites touristiques, ce qui nous a permis de rapporter qq petites clochettes!!!
Comprenne qui saura !
Rendez-vous pour une prochaine rando pour laquelle nous espérons des conditions plus favorables.

A.E.

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LA VERDIERE : Dimanche 7 Juin 2015

On peut considérer que cette rando s'inscrit dans le cadre d'une connaissance de la Nature et des actions de protection des espaces naturels: paysage, faune et flore.

C'est à l'initiative de Jean-Paul (le nôtre) de s'être mis en relation avec Jean-Paul (l'autre, agent de l'ONF), que nous avons parcouru cet itinéraire du Conservatoire d'espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Territoire protégé contre les agressions d'origine humaine pesticides, pillage de la flore, débroussaillage sauvage.....Nous avons pris conscience des efforts entrepris pour préserver ou reconstituer les conditions d'un environnement d'exploitations traditionnelles: reconstitution des fossés et des haies, nichoirs naturels de beaucoup d'oiseaux, protection des zones humides. L'aspect géologique fut également abordé, responsable du modelage du paysage.
Cela dit, le ciel nous fût clément, bien que lourd et orageux dans l'après-midi.

Afin de clore d'une manière satisfaisante cet enseignement réclamant une attention par moment éparse (n'est-ce pas Thomas !) nous décidons à l'unanimité de nous octroyer une récompense en rejoignant un de nos espaces protégés favoris, à quelques encablures de La Verdière : il s'agit "des deux saveurs" à Jouques où l'enjeu d'un pari attend toujours notre ami Charles !!!!!!

A bientôt pour la prochaine rando.

A.E.

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N.D de la Consolation: Dimanche 26 Avril 2015
La météo avait prévu de la pluie en abondance!! nous eûmes donc une journée ensoleillée.
Jouques ! jour de marché, Christine et Anne en profitent pour faire quelques emplettes: fraises, asperges, que nous ne consommerons pas en rando, nous avions prévu autre chose.
La montée par le chemin rocailleux est très agréable, d'autant que Thomas nous accompagne de ses observations judicieuses.
Le plateau nous offre un panorama sur la vallée de la Durance.
Nous cheminons à travers une garrigue où le thym et le romarin nous accompagnent en un environnement odorant.
Une petite combe, puis nous voici face à cette petite Chapelle malheureusement verrouillée, ornée d'une rustique croix de bois .
Le sentier qui suit donne l'occasion à Christine et Anne de faire une provision de thym et à Marjorie un bouquet de lilas mauve.
Nous ne pique-niquerons pas.
les Deux Saveurs, petit restaurant Antillais nous a préparé une table sur la terrasse. Charles, nous avons bu un Ti-punch à ta santé regrettant ton absence, en savourant des mets délicatement parfumés.
A bientôt!

A.E.

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15 et 16 novembre 2014, La Barre des Cévennes
Tout d'abord, merci à Anne-Marie pour sa transmission des éléments concernant ce W.E.

Jean-Paul nous avait dit " Je retournerais bien en Cévennes en novembre, ce doit être magnifique"
Aussi, ce fût un retour, le temps d'un W.E. dans cette région boisée et accidentée, où l'on écrase en marchant, les châtaignes tombées sur les chemins, avec un hébergement devenu classique, dans la famille Combes, qui nous laisse toujours un souvenir impérissable.
L'itinéraire emprunté, serpente à travers des prés particulièrement humides en cette saison, ce qui fait que nous pataugeons dans un mélange de boue et de ce que laissent habituellement les vaches sur le sol pour le fertiliser.
C'est beau la Nature.
De retour au gîte, un incident nous donne l'occasion de faire notre B.A.
Thème: recherche dans la nature, d'une jeune randonneuse égarée, son absence au gîte apparaît inquiétante.
Elle fût retrouvée en profonde contemplation, auprès d'un troupeau de vaches regagnant leur étable, C'est beau la nature !!
La température extérieure ne dépassant pas les 4°, nous apprécions vivement la chaleur du feu dans l'âtre du gîte, après une courte visite à Florac.
A bientôt pour d'autres "aventures"

A.E.

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13 et 14 septembre 2014: Le Pech de Bugarach
Mais! où sont donc passés les E.T ????
Nous sommes à Bugarach, à Camp d'Arly, très petit village à proximité du devenu célèbre site.
Nous sommes accueillis par une personne que l'on pourrait qualifier de "rustique", c'est la patronne du gîte; néanmoins elle s'avèrera une excellente cuisinière, ce qui n'est évidemment pas pour nous déplaire.
Dirigée par Alain, la montée au Pic commence.
Il faudra un peu plus de 2 heures pour en atteindre le sommet.
La vue est magnifique, la météo est idéale, les sentiers de descente, beaucoup moins, voir les photos ! ! !....
Chacun a fait le choix de suivre des voies différentes, il s'ensuit que Marie et Patricia se sont retrouvées au village de Bugarach, à 10 km par la route.
Charles et moi sommes partis vainement à leur recherche, l'unique buvette du village était déserte, c'était bon signe!.
Le lendemain, découverte des châteaux Cathares dont Peyrepertuse, par les gorges de Galamus, son Ermitage blotti à flanc de falaise, et la village de Cucugnan dominé par un superbe moulin à vent dont on peut se demander s'il n'avait pas inspiré Alphonse Daudet, mais nous ne vîmes pas le Curé !!!

A.E.

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7,8,9, juin 2014, Ile de BREHAT en Côte d'Armor

Nous cheminons dans un dédale complexe de venelles bordées de hauts murs de pierre, tirant derrière nous nos volumineux bagages, attentifs à suivre un itinéraire compliqué qui doit normalement nous conduire à "l'Idée fixe" notre gîte.
Nous sommes sur l'Ile de Bréhat berceau familial de Valérie Bertrand, c'est sur sa proposition que nous avons conclu cette activité qui doit comprendre kayak de mer et connaissance de l'environnement marin de cette très belle région de Bretagne.
L'Idée fixe est atteint. La porte de bois logée dans la muraille est poussée, et nous découvrons ce que sera notre résidence pour 3 jours: un joli jardin fleuri et arboré avec goût encadré de deux maisons rustiques et traditionnelles.
Nous découvrons dans un pré clos attenant, deux moutons noirs tout droit sortis d'une B.D. de F'Mur. Notre arrivée les laisse tout à fait indifférents, occupés à brouter consciencieusement leur carré d'herbe.
Les intérieurs sont pittoresquement d'époque, avec même dans l'une des pièces, deux lits clos qui firent le bonheur de Lolo et Véronique.

Le dernier bateau du continent vient d'arriver! Tout le monde est là ..?

Non ! il en manque un, et c'est :......

Eric, une victime de la conscience professionnelle.
Valérie, a pu faire récupérer notre ami par un zodiak de ses connaissances.

Le kayak de mer ! C'est une activité inhabituelle pour nous, et nous nous dirigeons vers le centre nautique.
La mer est belle, pas trop basse, pour que nous n'ayons pas trop
à parcourir pour mettre le matériel à l'eau; et c'est parti !!!!
Pas de perte humaine pour le premier jour, ainsi nous serons tous ponctuels à "KERRIEN" la maison familiale de Valérie, où nous sommes conviés à dîner.
Valérie et sa sœur Anne, nous y attendent, ainsi que d'énormes tourteaux, et tout ce qui va avec.
Patrick et Pascale ont apporté des truffes de leur récoltes; aidés de Marine, ils nous concoctent une petite préparation apéritive du plus joli effet.
En guise de "trou normand" et avant le dessert typiquement
"Bréhatien" Valérie et Anne, nous emmènent du côte du phare du Paon, faire un peu de culture physique, mais çà nous ne le savions pas encore.
et nous voici, à la nuit tombante, occupés à débarrasser les pelouse côtières des galets inopportuns que certains touristes empilent les uns sur les autres pour des raisons occultes.
bref! nous avons fait notre B.A. et participé au respect de l'environnement, nous pouvons rentrer maintenant attaquer ce fameux dessert traditionnel de l'Ile.
Après un retour pour ainsi dire à tâtons dans la nuit noire, il n'y a pas d'éclairage public à Bréhat et la lune n'était pas au rendez-vous, et une nuit de repos, nous sommes dispos pour aborder la suite du programme.
Un gros zodiac nous attend à la base nautique, pour une découverte du milieu marin: goélands, cormorans, fous de Bassan et autres ,
ainsi que les rochers et récifs, courants, et algues vertes comestibles, dont certains se sont régalés.

Au revoir Bréhat, finalement, après bien des ajustements, ce projet
a pu se réaliser.
Merci à tous et particulièrement à Valérie et Anne.

A.E.

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LE CONCORS : 6 Avril 2014

Premières retrouvailles de début de saison; le soleil, bien présent, a tenu, lui aussi, à participer.
il faisait chaud sur cette montée, malheureusement enlaidie par des travaux forestiers.
Nous avions, cette année, un participant de marque "indéfinie" le chien Pollux, qui a brillamment réussi son examen de passage.
La principale difficulté fût de trouver un coin propice, à l'ombre, pour mettre la table et s'installer pour casser la croûte.
La petite Chapelle était fermée (à juste titre) ce qui nous a privés d'un Aria "A cappella" de notre ami "Baladin"
Comme rien ne nous est impossible, nous avons déniché un coin de rocher qui fit l'affaire.
Afin de respecter une tradition bien ancrée, nous nous sommes retrouvés à Jouques, autour d'une table d'un café restaurant dont la joviale patronne nous a ravi, surtout Charles, qui retrouvait une "payse" des Iles.
Nous nous sommes promis de revenir plus longuement "aux deux saveurs" pour une découverte plus approfondie de cette cuisine Antillaise.
A bientôt pour une prochaine rando !!!

A.E.

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CAMARGUE : 3 novembre 2013

Ce mois de novembre, que la révolution française avait renommé "brumaire", nous a offert un dimanche venté mais ensoleillé.
Rando sans histoire, en terrain plat, bordé de flamants et de taureaux apparemment placides, le tortionnaire du touriste allemand ne devait pas être là !!!
Avons croisé quelques cavaliers promeneurs, ainsi qu'une carriole, et, aussi quelques flamants roses qui n'ont pas fait attention à nous, le gros de la population étant bien occupé à picorer, à une certaine distance, dommage !!
Nous nous quitterons aux "Saintes" autour d'un pot bienvenu.
A une prochaine,

A.E.

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PELVOUX, Hautes Alpes: 4 & 5 mai 2013

Que retenir de ce WE dans les hautes montagnes du parc des Ecrins ?
Tout d’abord un gite très accueillant, chaleureux que nous avons apprécié tant pour la cuisine que pour le confort (bien que certains aient trouvé à redire sur le grincement des sommiers.)
De plus, le gîte se nommant LA BLANCHE a donné le thème de nos randonnées, puisque nous avons été confrontés à la neige et aux névés, à chacune de nos escapades.

Samedi, sous un soleil radieux et inespéré, nous avons cheminé tranquillement, quelques marmottes faisant de courtes apparitions, jusqu’au hameau d’Eychauda encore sous la neige, endormi par l’hiver.
A la chapelle notre ami Robert nous a régalés d’un sublime chant Corse. Encore merci Robert pour ce moment d’émotion.
La marche dans la neige devenant trop ardue, parfois nous nous enfoncions jusqu’aux genoux, nous avons du renoncer à poursuivre notre avancée, et fait halte pour le pique nique, suivi de la sieste habituelle sous un soleil généreux.
Soleil et réverbération de la neige, ont donné une jolie couleur rouge vif à notre ami Christian, qui ne s’était pas méfié.

Dimanche, le temps moins clément, ne nous a pas empêchés de nous diriger vers le Pré de Madame Carle. Paysage minéral grandiose avec ses sommets enneigés et ses roches sombres, laissant courir des cascades et torrents généreux.
D’un côté le sentier, que nous empruntons, de l’autre côté la route et au milieu une rivière puissante.
Au fur et à mesure de notre avancée le sentier disparaissait de plus en plus sous la neige. Après plusieurs traversées de névés, la progression est devenue quasi impossible. L’opportunité de traverser la rivière s’est présentée grâce à une grosse avalanche recouvrant totalement la rivière. Nous avons pu ainsi rejoindre la route en toute quiétude, croisant quelques randonneurs à skis sur le chemin du retour.

Un peu avant, dès la 1ere rencontre des névés, Charles a préféré quitter le groupe.
Objectif, traverser le torrent par tous les moyens avec l’aide de Christian.
Essai n°1, jeter des pierres dans l’eau pour faire un passage. Plan abandonné au bout de 10 minutes au vu du courant, de la largeur et de la profondeur de la rivière. Essai n°2, droit dedans, résultat, nous les avons retrouvés en chaussons, chaussures détrempées.

Au retour aux voitures, nous nous sommes restaurés au chaud, dans l’unique buvette ouverte ‘’la belle Rosse’’.
10 m² chauffé par un poêle, 2 tables et une charmante vielle dame. Elle nous a laissés se restaurer au chaud à l’intérieur à l’abri de la pluie, en même temps nous avons du être ses seuls clients de la journée compte tenu de la météo.
Puis chacun a pris la route du retour.

B.G.



 
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